Balajo dancing de la rue de Lappe
Histoire et actualité du Balajo le dancing mythique de la rue de Lappe
Des musiques de joies, de danses et de bonheurs.
Articles sur les danses de bal musette
Histoire et actualité du Balajo le dancing mythique de la rue de Lappe
Le paso-doble se danse à deux sur des musiques à deux temps.
Le reste de l’article a été publié à cette adresse :
http://site.coindesdanseurs.fr/index.php/musette/contenus/141-paso-doble
Le chalet du lac
La concession du chalet du Lac par la Ville de Paris a changé de bénéficiaire.
En janvier 2015, ce sera maintenant une société issue de la société Lieux d’Emotions qui exploitera les lieux.
Bonne nouvelle, les activités thés dansants et guinguette seront maintenus par les nouveaux concessionnaires. Ils comptent développer davantage le secteur restauration.
Tous les détails ici : http://a06.apps.paris.fr/a06/jsp/site/plugins/odjcp/DoDownload.jsp?id_entite=36017&id_type_entite=6
Une émission de France Culture à ne pas rater :
Diffusée le 22 décembre 2015
Une histoire de musiques et de danses dont on dit qu’elles étaient populaires.
Claude Dubois « Piaf de Rambuteau »
biographe de l’accordéoniste amoureux de Paris : Jo Privat « Quel mec ce mec ! » s’exclamaient ses potes … et les potes de ses potes.
Emission sur France Inter du 22 février 2014
Article de Denis Couderc à vérifier
Le paso doble, une danse française
Bonjour,
Dans la page danse sportive, le paso doble est présenté comme une danse d’origine espagnole. Ceci est une grosse erreur : le Paso Doble est une danse créée par des professeurs et chorégraphes français, qui après avoir découvert la musique de la corrida, ont trouvé très dommage qu’elle ne se danse pas en Espagne et l’ont donc créée de toutes pièces (même si le flamenco et les sévillanes les ont inspirés). Ces professeurs/chorégraphes mondialement connus étaient Mesdames et Messieurs Meyer, Hillion, Ronnaux. Cela remonte aux années 30 quand la France était le 1er pays pour la danse sportive section Latines .Les plus grands danseurs de compétition venaient travailler à Paris avec ces grands maîtres. C’est pour cela que toute la terminologie technique du Paso est en français. Walter Laird rappelait souvent la contribution de ces Maîtres à la danse mondiale. N’oublions pas non plus que les premières compétitions de danses latines jusqu’ à la seconde guerre mondiale se faisaient sur la technique dite « continentale » que ces gens avaient élaborée et que seule la technique de leur paso doble est resté. Bien sûr, l’histoire de la danse sportive s’est transmise pendant longtemps de bouche à oreille, mais tout ceci les anciens le savent et nous sommes, je l’espère, quelques plus jeunes à l’avoir appris et à ne pas vouloir l’oublier.
Cordialement
Denis Couderc
http://danse-a2-couderc-herault.over-blog.com/2015/11/le-paso-une-danse-francaise.html
Les danses de couple sont un loisir qui permet d’allier le bien du corps par un exercice régulier et celui de l’esprit par une vie sociale.
Malheureusement on constate une décroissance de l’engouement pour les danses de couple. Si elles tendent à revenir sous la pression des jeunes générations, c’est surtout par le biais de danses et de musiques venues de loin, des caraïbes, d’Amérique Latine ou d’Afrique. On ne peut que le regretter.
Durant tout le XIXème siècle et tout le début du XXème, les danses de couple n’ont cessé de compter parmi les loisir les plus réputés. Quels que soit le milieu dans lequel on vivait, on allait au bal et le bal était présent dès l’age adulte. Les bals publics, les bals de mariage ou de fête, les bals bourgeois, des faubourgs, des guinguettes ou les bals musette, tous les prétextes étaient bons pour danser.
A partir des années 1930 naissent les danses sportives. A partir de là les choses se sont simplifiées et les figures ont été réglementées.
La très grande majorité des enseignants de danses de salon ont : soit pratiqué la danse sportive, soit se sont formés auprès de professeurs qui l’ont pratiquée ou enseignée. L’influence de ces discipline a été immense et a complètement modifié la forme, les appellations et les danses pratiquées. La pédagogie également s’est vue orientée vers une finalité de performance et vers des mouvement nécessitant de grands espaces.
Il est important pour nous de revenir à l’essentiel : le plaisir de la danse et de ses moments partagés.
Les pas sont un élément secondaire, commencer à apprendre à danser en regardant ses chaussures n’est pas une bonne voie.
Bal tous les week-end toute l’année (samedi et dimanche). En principe la musique commence vers 14h30 15h45 en raison du service du déjeuner. En période de grande chaleur il arrive qu’il y ai une animation musicale le vendredi soir, il est conseillé de nous téléphoner pour le savoir.
« Chez Fifi – Bar de la marine »
Tél : 01.43.08.20.31 ou 06.81.52.91.04
Gambilleur de première, toujours prêt à participer à un bal pourvu qu’il y ai de la bonne musique et un peu de place.
Pierrôt n’est pas né en dansant, ca n’est qu’à partir de 2001 qu’il a commencé à apprendre à danser. Les danses solo ne l’ont jamais inspirées. Il a commencé en prenant des cours de danses de salon et très rapidement, c’est devenu une passion.
Il a essayé et est passé par toutes les danses de couple à la mode à cette époque, les mondes qui l’ont le plus intéressés étaient celui des danses de salon (ou danses sportives), des danses anciennes (du XIXème) et des danses traditionnelles. Dans chacun de ces mondes il a appris des danses, mais aussi et surtout des attitudes vis à vis de la danse et du bal. La technique et la précision pour la danse sportive, la tenue le style la légèreté pour les danses anciennes, l’importance du rythme et le lien à la musique pour les danses traditionnelles.
Ca n’est qu’un peu plus tard qu’il est entré dans le monde du tango argentin où c’est le guidage qui règne en maître. Ces apprentissages ne se sont pas fait tout seuls, il y a eu de nombreuses difficultés qu’il a fallu dépasser, qu’il a fallu oublier un certain temps pour y revenir ensuite. Mais que de joie à chaque foi qu’un obstacle a été franchi, que de bonheur lorsque la danse devenait plus fluide plus vivante plus proche de ses cavalières. Quel plaisir de sentir une action passer alors que la semaine d’avant cela semblait impossible.
Pierrôt s’est attaché à garder en mémoire ces difficultés et la manière dont elles ont été franchies. De ces temps difficiles de l’apprentissage il se rappelle les exercices qui lui ont permis de progresser, les phrases dites par les enseignants qui ont marqué son esprit, les façon de faire qui étaient productives et celles qui ne l’étaient pas.
Ca n’est que récemment lors de sa rencontre avec la Môme Pascale que les choses sont devenues claires. De même que les Argentins on pu retrouver leur danse après plusieurs périodes de désaffection et grâce à ce qui se passait en Europe et particulièrement en France, nous devons retrouver et mettre au goûts du jour les danses qui se pratiquaient dans nos bals musette. Ces danses font parties de notre patrimoine et ne peuvent pas être détachées des musiques qui les accompagnaient tout le genre musette lui même complètement imbriqué avec les chansons réalistes. Les danses ont été perdues car elles n’étaient pas enseignées. Musique et danse ont été oubliées car le souci de qualité n’était pas toujours au rendez vous.
C’est donc ensemble que La Môme Pascale et Pierrôt la Gambille consacrent leur énergie à faire revivre ce patrimoine parisien : danse, musique et chanson dans une recherche de qualité et de plaisirs.